Dans le processus de production industrielle et de consommation d’énergie, une grande quantité d’émissions de NOx deviennent une source importante de pollution atmosphérique. La technologie de dénitrification fournit un soutien clé pour améliorer la qualité de l’air en réduisant les niveaux de NOx.

Le principe de base des technologies de dénitrification, telles que la réduction catalytique sélective (SCR) et la réduction sélective non catalytique (SNCR), est de réduire les NOx en azote et en eau inoffensifs en utilisant des réducteurs. Les NOx sont un important précurseur de la formation de pluies acides, de smog photochimique et de particules fines (p2,5).

Lorsque la technologie de dénitrification réduit efficacement les émissions de NOx, la production de substances acides dans l’air est réduite, et la fréquence des pluies acides et l’ampleur des dommages sont par la suite réduits; Dans le même temps, la réaction en chaîne dans la formation du smog photochimique est bloquée et la concentration de polluants nocifs tels que l’ozone est contrôlée. De plus, le processus de formation d’aérosols secondaires par réaction d’oxydes d’azote et de composés organiques volatils est supprimé, et la proportion de particules secondaires dans les mp2,5 est considérablement réduite, réduisant ainsi la probabilité de temps brumeux.

Au niveau macro, l’application généralisée de la technologie de dénitrification joue un rôle positif dans l’amélioration de la qualité de l’air à l’échelle régionale et mondiale. Alors que les entreprises industrielles et les centrales électriques au charbon continuent de promouvoir la modernisation des installations de dénitrification, la concentration d’oxydes d’azote dans l’atmosphère a été progressivement réduite, le nombre de jours avec un ciel bleu et des nuages blancs a augmenté, et les gens et#39; S l’environnement respiratoire a été efficacement amélioré. Cela contribue non seulement au développement durable de l’environnement écologique, mais constitue également une protection importante pour la santé publique.